• Un jour j'ai lu l'article d'Antigone XXI intitulé "Le jour où j'ai arrêté de me laver les cheveux". Et j'ai trouvé le titre mensonger puisqu'elle n'arrête pas vraiment de se les laver mais elle utilise autre chose que du shampooing !

    Cependant il m'a permis de réfléchir sur mes habitudes capillaires. En effet, je me lavais les cheveux tous les deux jours, il était même une période où le lavage était journalier. C'est simple, j'aimais avoir les cheveux détachés (et je ne savais pas me coiffer autrement) mais je détestais avoir des cheveux gras tomber sur mon visage, encore pire avec la frange...

    Puis, travail en milieu médical oblige, j'ai commencé à m'attacher les cheveux et à découvrir de nouvelles possibilités !

    Il y a quelques mois, j'ai décidé de tenter l'expérience ! Je me suis mise à ne me laver la tête qu'une fois par semaine. Contrairement à ce que préconise Antigone, j'ai aussi arrêté de les brosser tous les jours mais seulement lors des shampooing. Plus la date du dernier shampooing s'éloigne, plus ils sont emmêlés, plus je les attache court.

    Au départ, ils graissaient rapidement, le soir même du shampoo, maintenant il leur faut deux jours.

    Au départ, quand il était arrivé le moment du brossage, il me fallait une bonne demi-heure et j'enlevais une grosse boule de cheveux de la taille d'un poing (il faut dire que je les ai jusqu'en bas du dos) cependant je ne suis pas sûr que cela représente beaucoup plus que les cheveux accumulés habituellement en une semaine. Dorénavant je me brosse en 10 minutes et je perds relativement peu de cheveux !

    J'ai eu envie de pouvoir les laisser détaché plus longtemps, et j'ai cherché des recettes de shampooing sec. J'ai pu en trouver une sur le blog de La chevêche.

    C'est tout simple ! Mélangez dans un pot 4 doses de fécule (j'ai utilisé de la pomme de terre), pour 1 dose de bicarbonate de soude ainsi qu'une dose de cacao en poudre pour les brunes.
    Déposez la poudre sur vos cheveux avec des mains sèches, attendez 5 minutes que le produit absorbe puis peignez.

    Cela marche relativement bien notamment sur les cheveux graissés par le visage, mais au bout d'une semaine de non-shampooing, faut pas rêver non plus. J'ai dû abandonner mon peigne en bois pour un peigne en plastique. Les dents du premier étant trop espacée je n'arrivais pas à enlever les dépôts. D'ailleurs il en reste toujours un peu, il faudrait trouver autre chose que le cacao pour colorer la poudre. Des idées ? Auquel cas je ne l'ôterais pas de la recette pour autant, j'aime bien l'odeur, et je pense qu'il a de bonnes propriétés. La poudre me laissait les cheveux doux et diminue aussi mes sensations de démangeaisons.

     

    J'ai donc de beaux cheveux, brillant, sans trop de fourches, se démêlant facilement !

    Je vais bientôt tester la recette d'Antigone pour remplacer mon shampoo bio !


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  • Je n'ai malheureusement pas pu réitérer mon expérience de jeûne. En effet il me faudrait trouver une semaine où je ne fais pas trop d'activités (pas de bal folk ou de fest-noz), où mon compagnon n'est pas là (dur de regarder manger quelqu'un) et où je n'ai pas de soirée de prévu (encore plus dur de résister à l'apéro).

    27/08/2013

    Après vous avoir parlé du jeûne en général, je vais parler un peu de mon expérience.

    J'ai tout d'abord décidé de faire 24h, pour voir. J'ai donc pris un repas standard la veille au soir. Le lendemain je me sentais légèrement plus faible en début de matinée puis c'est passé. Le midi j'ai tout aussi bien réussi à ne pas laisser la sensation de faim m'envahir. Je buvais du thé froid et beaucoup d'eau. On m'a dit plus tard que le thé n'était pas recommandé lors d 'un jeûne.
    Dans la journée j'ai eu très très mal au dos, aux reins, je ne sais pas si c'est lié (j'ai habituellement mal) ou si c'est le fait d'être en travaux pratique toute la journée. Le soir, nous étions lundi, dur de résister jusqu'à l'heure fatidique. Nous avons fini par commander des pizzas habituellement réservées au dimanche soir. Je ne voulais pas commencer un jeûne par des pizzas en guise de dernier repas mais je l'ai fini comme ça et ce n'est pas très bien. Je pense cependant qu'une telle rupture de jeûne est moins grave après une journée qu'après une semaine.

    Mais je sentais que cela m'était possible ! Un jeûne d'une semaine. Après un peu plus de recherche et un peu plus tard. L'idée d'avoir déjà pu contrôler une telle pulsion qui est plutôt de l'ordre mental me plaisait bien.

    Les raisons qui m'ont poussées à faire ce jeûne étaient aussi la détoxification et le repos de l'appareil digestif pour revenir à une bonne digestion. Et puis aussi je voulais voir le résultat sur ma fatigue latente. Je savais que j'allais perdre du poids mais je ne comptais pas trop sur le fait de garder cette perte après coup.

     

    Cela faisait un moment que je diminuais mes portions de nourriture devenue égale à celle de Monsieur et donc inquiétante pour moi. Ma préparation au jeûne était donc déjà commencée et je continuais jusqu'à la date décidée.

    Voici une petite description jour par jour :

    Samedi = J0 :
    Le midi je mange un repas pas trop lourd mais pas frugal non plus et je mixe le reste de ratatouille que je dilue.
    J'ai faim dans l'après-midi O_o. Le soir je bois 0.5l de jus de ratatouille et je fais une heure d'activité assez intense (danse bretonne). On m'offre aussi un verre de jus d'orange. A minuit, j'ai faim mais je me sens bien.

    Dimanche = J1 :
    Le matin je bois 1/2 verre de jus d'orange, je déteste boire de l'eau directement au levé. Ma langue est chargée et blanche et ma faim est très légère.
    Je ressens les premiers gargouillis vers midi. J'ai des engourdissements dans la mâchoire, la langue, les joues, bizarre. Je bois encore mes 0.5L de ratatouille mais comme le blinder mixe mal l'apparence et la sensation est bof, je ne dirais pas à quoi ça me fait penser. J'ai faim vers 18h.
    Le soir je bois du bouillon fait avec un cube miso dilué dans 2L d'eau. J'ai plutôt eu une activité "intellectuelle de midi à minuit".

    Lundi = J2 :
    Idem, 1/2 verre de jus d'orange le matin. J'ai faim vers midi, l'eau la calme rapidement, idem pour le soir. Dans la journée je fais une demi-heure de marche pour aller en centre-ville. Je ressens une légère faiblesse. Par contre j'éructe souvent.

    Mardi = J3 :
    Toujours le même jus d'orange. Je me suis levée tôt, je ressens un peu de fatigue surtout pendant mes 1h de voiture. Je fais de la mécanique presque toute la journée et je me sens en bonne forme. Je bois deux thés pour être de bonne compagnie malgré ce que l'on m'a dit. Je ressens juste quelques gargouillements aux heures de repas.

    Mercredi = J4 :
    Idem jus d'orange. Sensation de faiblesse dans la matinée mais ça passe très vite. Et je vais à la selle, pour la première fois depuis dimanche. Pourquoi ? Alors que je n'ai rien mangé.

    Jeudi = J5 :
    Ce jour la ressemble au mardi. Un levé pas trop tardif et de la mécanique une bonne partie de la journée. Je me sens parfois étrangement heureuse, légère. Le soir c'est un peu plus difficile, je regarde la télé à côté de Monsieur entrain de manger.

    Vendredi = J6 :
    Je sais que je vais remanger ce soir et l'attente est parfois un peu longue mais je ne veux pas craquer en si bon chemin. L'envie est très psychologique. Je vois de la nourriture dans ma tête.
    Le soir est un très bon moment : une soupe légère que je déguste cl par cl tout comme mes jus d'orange du matin.

    La vie est belle.

     

    Je romps donc doucement en commençant par manger léger le lendemain matin, et que des légumes le midi. J'incorpore un peu de pomme de terre le dimanche. J'aimerais garder ce rythme mais l'arrivée imprévue d'une amie le lundi chamboule mes plans. Pizzas ! Mal de ventre et diarrhée à la clef ...

    Mais il se calme après. Puis en vacances c'est plutôt cure de légume (et churros), pas de lait le matin. Mon ventre va bien et je sentirai la différence avec la reprise du lait au petit dèj dès notre retour. Je suis donc passé aux laits végétaux.

     

    Les résultats sont donc très bons sur mon système digestif. Pour la détox je ne peux pas trop savoir l'intérieur de mon corps mais je n'ai pas eu d'urine hyper colorée et odorante comme on m'a dit que ça arrivait. Pour la fatigue, il est sur que j'allais plutôt bien pendant ma semaine de jeûne, comme sur un petit nuage mais je n'avais pas d'activité physique intense. Le lendemain de la rupture je suis allée danser et là c'était dur. Je n'ai pas ressenti une fatigue physique comme après une journée de boulot, ni celle comme après 2h de sport mais c'est comme si mes membres refusaient de me répondre, de se soulever. Manifestement une perte musculaire. Après nous sommes parti et j'allais très bien. Est-ce juste le phénomène vacances/soleil ou vraiment du jeûne ?

    Pour ma part je n'ai pas ressenti la période d'acidose, je me demande donc si mon jeûne a été assez long pour être vraiment utile.
    Juste après le jeûne j'avais beaucoup plus de marge dans mes jeans. J'ai pu me peser après mes vacances : -5kg sur la balance. J'ai du en perdre plus de 5 pendant la préparation et le jeûne.

     

    Et si c'était à refaire ?
    Je pense bien le refaire oui, mais différemment. Là ce n'était pas vraiment un jeûne sec à cause du verre de jus d'orange le matin, mais pas vraiment un jeûne aux jus non plus car qu'un seul verre.
    Je pense faire des jeûnes aux jus une à deux fois par an, au moins pour le repos du système digestif. Mais peut-être faudrait-il qu'il dure plus longtemps dans ce cas ?
    Ce qui a été le plus dur pour moi, c'est l'envie de goût. Ce jeûne semble pouvoir un peu résoudre ce problème.s
    Le jeûne intégrale sera réservé pour des jeûnes purement thérapeutiques si un jour je suis vraiment malade.

    Je retire un grand sentiment de contrôle de moi-même et une plus grande envie de rechercher ce qui est le mieux pour mon organisme, un équilibre.


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  • Je vous invite à répondre au questionnaire de Lucie Valéro, étudiante en sociologie.

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  • 25/08/2013

    Quand j'ai commencé à me poser la question du jeûne j'ai trouvé un peu de tout sur internet. Certains pouvaient même insuffler un petit côté ésotérique à la chose. Le jeûne, un truc d'illuminé quoi ! De bobo hippie chic ? Point du tout. J'ai ensuite trouvé des sites plus sérieux sur comment faire, les résultats et le fonctionnement sur l'organisme.

    Au lieu de vous pondre un article mal écrit essayant tant bien que mal de faire un résumé du principal, voici un documentaire diffusé il y a quelque temps sur ARTE.
    On y parle un peu de "comment faire", "comment ça marche", "pourquoi le faire". Et surtout une chouette révélation/révolution sur le jeûne et le cancer.

    (Il y a toutefois une chose que j'apprécie moins : la représentation des protéines par un steak :p)


    Le jeûne  une nouvelle thérapie par apo-catholique

     

    Quelques trucs que j'ai lus :

    Il existe plusieurs types de jeûne :

    •  le jeûne sec où n'avale rien, même pas d'eau : je le pense fortement déconseillé, personnellement je ne vois pas ce que peut apporter le fait de ne pas boire d'eau, sauf peut-être dans des maladies liées à cette dernière ... mais je n'ai trouvé aucune donnée là-dessus.
       
    •  le jeûne (intégrale) : où l'on boit uniquement de l'eau. Il se veut plutôt thérapeutique et l'on m'a conseillé de ne pas faire d'effort physique, d'être constamment au repos pendant ce jeûne (contrairement à ce que montre la vidéo.
       
    • le jeûne avec boisson : jus de fruit/légume, soupe dilué. Il se veut préventif, l'activité est possible. Par contre pour un effet identique au précédent jeûne il devra être plus long, l'état d'acidose mettant plus de temps à arriver.
       
    • le demi-jeûne : je n'ai pas tout compris et je n'ai pas cherché plus car pas intéressé. Il s'agirait d'incorporer un peu de nourriture, légère et diluée, lors de longs jeûnes, quand l'état du patient stagne.

    En bref il existe aussi tout un tas de méthode selon le médecin qui faisait pratiquer le jeûne.

     

    La vidéo dit qu'il ne faut pas faire de jeûne sans être accompagné d'un médecin. Pour ma part, je pense qu'il n'y a pas de risque à le pratiquer une semaine si vous êtes en bonne santé (pas de problème de diabète, d'hypertension, de rhumatisme, cardiaque ...). Il s'agit donc d'un jeûne visant à la purification, la détox, l'amélioration de la digestion, l'éloignement du risque de cancer.

    Pour ce qui est du fonctionnement du jeûne sur le cancer, tout est expliqué dans la vidéo : cela limite l'effet secondaire de la chimio mais même sans chimio le jeûne en lui-même empêcherait la survit et la multiplication de cellule cancéreuse.

    Pour l'effet de détoxification, j'avais compris que les toxines sont stockées dans les graisses et qu'à partir de l'état d'acidose ce sont les graisses qui sont utilisées pour alimenter en énergie (comme expliqué dans la vidéo). Donc si élimination des graisses, élimination des toxines.

    J'ai aussi entendu dire qu'un jeûne régulier de (toutes les deux semaines ou une fois par semaine) pouvait être bénéfique pour l'éloignement du cancer. Je ne sais pas ce que cela vaut puisque l'on atteint jamais l'état d'acidose !

    Encore une chose, je pense que les stages de jeûne ne servent à rien. Juste des gens qui surfent sur la vague du "retour aux sources pour prendre soin de soi". Ca coûte un bras et la nourriture n'est même pas bonne :p
    La seule chose que l'on peut trouver dans ces stages c'est peut-être le renfort mental dû à l'encadrement. Comme le dit la vidéo, c'est la tête qui commande et pas le ventre.

     

    /! Le plus important dans la réussite d'un jeûne, c'est sa préparation et sa rupture !
    Pour un jeûne d'une semaine, prenez-en au moins trois.
    Une pour diminuer vos apports : arrêtez les animaux morts si vous en consommiez, diminuez les apports en autres produits animaux et en céréales/légumineuses/féculents jusqu'à les arrêter. Les derniers jours ne mangez que des légumes tout en diminuant les portions jusqu'à commencer votre jeûne par une soupe.

    Puis vient la semaine de jeûne de votre choix.

    Enfin la rupture qui commencera bien entendu par une soupe légère, et vous continuez le chemin dans le sens inverse. Par contre il faut profiter de ce jeûne et de ses bienfaits pour améliorer son alimentation et son mode de vie par la suite. Arrêter/diminuer les animaux morts et les produits surgras est un bon début !

    On parle parfois de lavement avant un jeûne. Soit par un lavement "médicale", soit en mangeant certains aliments qui font aller à la selle et les rendent plutôt molles. J'ai lu que cela était plutôt inutile voir pas très bon pour les intestins.

     

    Voilà voilà. N'hésitez pas à me corriger et à vérifier mes dires !


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  •  

    Il y a deux ans j'avais écrit un article appelé "Liberté de s'épiler... ou pas". Aujourd'hui je décide de le nommer simplement "Liberté de s'épiler !". Car je l'ai trouvée cette liberté ! Après légère rechute (de poil ahah) dans les horreurs de l'épilation, je me suis totalement arrêtée depuis un an maintenant. Plus aucune gène, je ne vois même pas les regards même si je suppose qu'ils se portent encore souvent sur mes aisselles. Ceux de mes jambes sont devenus cours et blond, comme il y a fort longtemps (je suis brune), ma peau est plus douce que jamais !

    Rencontrer des gens dans la même démarche m'a aussi aidé. Aussi je vous conseil le groupe Facebook : Tous à poil et poil pour tous ! ainsi que le site de Pierre Griffet sur la pilosité fémine.

    Vive les poils !

      

     

    27/10/2011

    Liberté de s'épiler... ou pas

    La question est plutôt : A-t-on le droit de ne pas s'épiler ? La réponse semble être oui tout simplement parce qu'aucune loi ne nous y oblige. Alors si on a ce droit, peut-on simplement réussir à le prendre ? Non, j'ai bien peur qu'il soit difficile de faire cette démarche, constamment jugé, à cause des idées reçues, de la publicité qui nous martèle qu'une femme velue n'est pas une femme.
    Et combien de femmes ne se sont tout bêtement jamais posé la question ! Pourquoi l'épilation ? Chez elles, un geste machinal, comme respirer ...

    Ci-gît, l'article de ma rédemption, le rachat d'une nana qui a choisi d'aller dans l'autre sens non pas par dégoût mais pas opposition, contre une mentalité formatée, contre ces publiscités qui nous construisent... mais qui ne sait pas combien de temps cela va tenir !
    Donc quelques arguments et démentis !


    Tous simplement, ce qui paraît immédiatement c'est l'économie salvatrice que vous allez faire !!! Combien coûte un paquet de rasoir ou de lame, un pote de crème d'épilatoire, des bandes de cires, un épilateur électrique ou un rendez-vous chez l'esthéticienne (avec des forfaits à la demi jambre !) ?

    Du coup, on peut tout de suite enchainer avec l'effet écologique, combien de rasoir sont jetés chaque jour et peuvent-ils être recyclés ? Quels produits chimiques contiennent toutes ces crèmes dépilatoires, puant l'ammoniac et finissant dans vos canalisations ?


    J'ajouterais aussi qu'en plus d'être mauvais pour l'environnement, les produits chimiques sont mauvais pour votre peau ! De plus l'épilation est douloureuse (mais depuis trop longtemps nos mères nous on dit "il faut souffrir pour être belle" : déjà intégré depuis notre plus jeune enfance), le feu du rasage dessèche la peau. Et trouvé vous les boutons succédant au rasage plus esthétique que les poils eux-même ? Idem pour les poils incarnés qui risque, après, l'infection ?

     

    Il y a notamment de fausses idées sur l'hygiène. On peut ne pas s'épiler et prendre soin de son corps, et sans toutefois utiliser des crèmes de jours, de nuit, anti rides, du maquillage ... prenez par exemple un simple masque d'argile bio sublimera votre teint (par ce qu'il le vaut bien).
    L'odeur ! A l'odeur ! Gros point noir (beurk) à supprimer !
    Faux, quelqu'un qui ne s'épile pas ne plus pas plus qu'un autre (tant qu'il se lave convenablement), voire même moins !
    Explications :
    - le poil régule la température => moins de transpiration
    - le poil empêche la sueur de dégouliner sur les vêtements => moins voyant, moins de transmission de l'odeur
    - les glandes produisant le poil sécrètent ou non des substances, l'odeur des personnes non épilé est moins forte !
    Qui l'eut cru !

    Pour ce qui est du côté des mentalités, certains diront que le poil ne sert à rien, qu'il est un reste de l'animal dont on descend. Encore une fois : faux. Le singe n'a ni poils aux aisselles ni au pubis.
    Aussi, le poil est néfaste pour les puritains, car en effet, la vision d'une pilosité dépassante d'un maillot, c'est évoqué la présence du sexe caché !
    Mais finalement, la femme poilue, c'est la femme pubère, en âge de se reproduire, lui donne son identité sexuelle. L'épilation intégrale ne la rend elle pas femme-objet, ou pire femme-enfant, avec ce côté pervers ...


    Ouais, mais de temps en temps, pour le fantasme de ces messieurs ... chut, je n'ai rien dit ! Et ces fantasmes eux-mêmes ne sont-ils pas crées de toutes pièces !? Avez vous attendu la demande d'un homme pour vous exécuter ? Combien d'hommes vous ont-ils dit que les poils ne les dérangeaient pas, ou du moins que peu leur importait ? Mais je suis une nana, j'attends donc vos avis messieurs ! Cela pourra peut-être bien me conforter dans mes choix.


    Depuis plusieurs mois sans me tartiner, épiler ... on ne m'a jamais autant dit que j'étais ravissante ^^


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